Nymphalis - Reine de la ruche [terminé]

Histoire

Toutes les histoires de princesse commencent, par, il était une fois, cette histoire n’est pas différente des autres. Le jour de sa naissance était le plus magnifique jour de ses parents, contrairement à l’attente de ses géniteurs, la femelle était aussi blanche et pure que la neige, son regard de braise enflammait les esprits. Déjà un grand sourire sur les lèvres, elle a été désiré et chéri depuis son premier souffle, car tel était la volonté de ceux qui l’ont conçu. Même si la petite ruche était souvent attaquée par les chasseurs, ce moment, cet instant où la demoiselle à sentir l’air frais sur sa pelisse de neige, tous les malheurs du monde venait de s’évaporer, elle n’était plus que la seule est l’unique chose que leur prunelle pouvait voir, elle était leur vie, leur destinée, elle était tout simplement leur petite princesse.

Son enfance était tout de même joyeuse, elle a su surmonter chaque peur et crainte que sa ruche subissait. Sa peur contre le monde extérieur prenait de plus en plus vie au sein de ses entrailles. Des Changelings disparaissaient sans laisser aucune trace, comme s’ils n’avaient jamais existé. Au début, on ne voulait pas effrayer la petite, on lui racontait des histoires douces pour qu’elle s’endorme et qu’aucun cauchemar ne parvienne jusqu’à son esprit. Durant plusieurs années, ses parents ont préservé son esprit de la mort.

Les années passent, elle grandi, elle mûrit. Les histoires qui ont bercé son enfance s’effondrent lorsqu’elle voit la violence du monde extérieur. Elle ne comprend pas pourquoi les poneys éprouvent autant de haine pour une espèce qui n’ont pas chercher à comprendre qui ils étaient. Chaque jour qui passe et plus violent que le précédent. Mais jamais elle aurait pu croire qu’un jour son univers entier aller se briser en un millier de morceaux. Sa vie entière allait changer et elle ne ce n’était pas préparé à ce futur qui allait la mettre à l’épreuve.

Un jour tout à fait banal, la blanche au regard de feu, profitait de sa vie au sein de la ruche, elle était alors âgée de vingt-et-un an. Elle était devenue une magnifique jument, des pupilles ravageurs et un esprit déjà bien vif. Mais la vie qu’elle connaissait allait s’écrouler dans quelques minutes.
Alors qu’elle se croyait en sécurité, les chasseurs étaient restés calmes depuis plusieurs jours. Beaucoup étaient sur leur garde, sachant que cette tranquillité n’allait pas durer. La colombe se sentait bien ce jour-ci, mais en un battement de cil, l’apocalypse commença…

En un éclair, tout ce qu’elle avait connu devenait doucement flou, elle n’entendait plus que des cris de terreur, elle voyait des flammes qui surgissaient de nulle part. Il y avait des rires, mais aussi des pleurs. Certains tentèrent de combattre, finissant au bout des lances, d’autre de s’enfuir, mais chaque issue semblait piégée. La panique se propagea dans le sang de la belle, elle cherchait un moyen de sortir, un endroit qui ne serait pas dévoré par les flammes des chasseurs. Chaque bouffée de fumée qui se rependait dans son organisme l’affaiblissait. Nymphalis avait peur, si peur que les larmes n’ont pas eue le temps de couler le long de ses joues. Tout ce qui l’entourait ne possédait plus aucun trait distinct, il n'y avait plus que des formes sans nom. Les voix qu'elle entendait devenaient de plus en plus faible, jusqu'à devenir inexistante. Elle ne pouvait compter que sur elle-même pour s'enfuir, combattant avec courage le manque d'oxygène, elle parvient à trouver une issue qui ne semblait pas encore enlacée par le feu de l'enfer. Sans regarder une seconde derrière elle, Nymphalis se dirige vers une potentielle sortie. La belle savait parfaitement que cela pouvait être une hallucination à cause du manque d'oxygène, mais elle tenta sa chance de sauver sa vie. Évitant chaque obstacle qui entravait sa route, elle parvint à sa destination, elle pouvait sentir le vent souffler entre les crins de sa crinière blanchâtre. Elle avait fermé les yeux, le temps que ses poumons se remplissent d'air, mais ce moment de répit fut plus que court, il dura moins de deux secondes et pourtant, lorsqu'elle sentit l'air pénétrer dans son organe respiratoire, elle se sentit libérée. Elle avait baissé sa garde trop rapidement, et cette erreur de jugement lui apporta une cicatrice éternelle. Cette sortie avait pour but de tuer ceux arrivant à s'échapper, un chasseur était juste à côté de l'entrée, il avait la colombe tenté de sortir de sa cage, dans un élan qu'elle n'avait pas vu, les flammes de la torche embrasèrent un côté du visage de Nymphalis. Son œil à pu rester intact à cette attaque, tout, c'était passé si vite, qu'elle n'a pas eu le temps de crier, lorsqu'elle entrouva ses lèvres, ce fut un son mélodique qui sortit de sa gorge. Sa voix qui était aussi divine que son apparence avait comme hypnotisé le chasseur. C'est grâce à cette diversion, qu'elle a pu finir sa fuite de la ruche.

Le visage à moitié brûle, Nymphalis continua de courir encore et encore jusqu'à ce que le danger soit à plusieurs kilomètres d'elle. Elle était épuisée, mais son cœur battait si fort qu'elle ne trouvait pas le moyen de se reposer. C'est à cet instant qu'elle réalisa ce qui venait de se produire et que toute sa famille et tout ceux qu'elle avait connu venait de disparaître complètement. Les premières larmes coulèrent le long de ses joues devenue légèrement écarlate, son corps entier tremblait, chaque image repassait en boucle dans sa mémoire, elle était seule désormais. Du plus profond de son coeur, sa colère contre les normaux venait de croître en un millième de seconde, et pourtant, elle se voyait incapable de venger ceux qui avait bercé son enfance.

Reprenant sa route avec un peu plus de tranquillité, elle s'engouffra dans un lieu que tous redoutaient et qu'aucun chasseur ne viendrait la chercher. Elle n'hésita aucunement à plonger dans la forêt de l'oubli, à peine elle y était entré par le chemin de pierre que l'obscurité lui brûlait les pupilles. Plus elle marchait plus la route disparaissait, lorsqu'elle se retourna pour la première fois, le chemin qui était derrière elle venait de fondre dans le décor. Elle était seule, sans aucun moyen de revenir de là où elle était. Alors elle continua de marcher doucement en essayant de se déplacer grâce au bruit environnant et à la sensation de ses sabots, mais rapidement, elle entendait des bruits étrange, des murmures à faire frissonner plus d'un étalon. Elle ne savait pas où elle se trouvait, mais elle y était et personne ne pouvait l'aider. Les premières heures semblaient être éternel et plus la blanche s'enfonçait dans les ténèbres, plus la fatigue la consumait. Elle désira se reposer quelques minutes, mais à peine elle s'arrêta qu'une masse étrange tourna autour d'elle. Ne sachant pas où regarder, elle tourna la tête dans tous les sens, son talent lui était inutile ici, son corps frissonnait, son estomac criait famine et pourtant, elle devait courir pour sauver sa vie. A chaque foulée elle avait l'impression que la forêt se refermait sur elle, qu'on essayait de la détourner du bon chemin.

A chaque nouvel événement, Nymphalis se perdait dans le temps, combien de temps était t'elle prisonnière de la forêt ? Elle ne le savait pas. Vieillissant mentalement, la blanche échappa à chaque fois de la mort de justesse. Elle avait choisi d'affronter les supplices de la forêt plutôt que la mort auprès de ceux qu'elle avait toujours connu, pas à un seul moment elle regretta se choix, car elle voulait vivre et avait espoir de trouver la sortie. Malheureusement pour la belle, son espoir diminuait à petit feu, elle était épuisée et rien ne lui indiquait le chemin menant vers la liberté. Elle avançait de moins en moins vite, s'écroulant parfois sur le sol, ses limites étaient complètement dépassées et pourtant, elle se relevait en serrant les dents pour continuer son ascension vers la lumière.

Sa crinière ce mélangé à des branches, des cernes se dessinait sous ses yeux, elle n'y croyait plus jusqu'à ce qu'elle aperçoit une lueur devant elle. Un chemin de pierre se dessina au fur et à mesure de son avancé, l'éclat était si lumineux qu'elle du continuer en fermant les yeux avec force tout en baissant la tête pour avoir un maximum d'obscurité. Son périple dans le néant était si long que la lumière du jour l'éblouissait. Une fois sortis des entrailles de la forêt, Nymphalis s'écroula sur le sol, elle était enfin libérée de son supplice, elle était enfin libre. Sans même qu'elle sans rende compte, la femelle s'endormis profondément. Dans son esprit, des images faisaient leur apparition, elle revoyait son lieu de naissance dévoré par les flammes, elle se rappelait de cette chaleur étouffante, comme si elle se trouvait dans un désert sans fin. Puis, une étrange sensation l'éveilla, elle se leva brusquement, un oiseau lui picorait le crâne. Le soleil était toujours présent, lui remémorant ce qu'elle avait vu à la ruche, cette chaleur si intense ne lui était pas inconnu.

Elle prit la route, vagabondant par-ci, par-là, elle ne savait pas où elle se trouvait, ni où elle pouvait aller, une chose était sur, cette forêt l'avait fait mûrir. La ruche où elle vivait lui manquait terriblement. Elle faisait tout pour rester à l’écart des autres, elle avait besoin de se retrouver et de déterminer ce qu'elle fera dans l'avenir.
Plusieurs jours passe, elle vie comme un clochard, dehors comme une vagabonde, elle ne possédait aucune monnaie, et même si elle en possédait, elle se refusait de côtoyer les autres équidés et pourtant, ils étaient essentiels à sa survie.

Après avoir erré une année dans ce nouvel univers qu'elle avait appris à connaître, Nymphalis fait une drôle de découverte. Elle rencontre pour la première fois en un an un Changeling. Elle avait entendu parler d'une ancienne ruche, elle voulait rejoindre ce lieu et trouver un endroit où elle pourrait vivre éloignée des autres. C'est à ce moment-ci qu'elle fit la rencontre du Changeling qui lui aussi semblait chercher un endroit où se cacher. C'est durant cette rencontre que la belle apprend la situation de son espèce, qu'ils étaient toujours victime toujours aussi méprisée et que peu à peu leur nombre diminuait. Bientôt, il n'y aurait plus aucun Changeling à Equestria. Elle se demandait toujours pourquoi il y avait autant de violence envers ceux qui était comme elle. Cette nouvelle l'avait attristé, mais elle savait que cette rencontre ne pouvait pas être un simple hasard. Elle serrait fermement sa mâchoire, elle était en colère, mais refusait de montrer quoi que ce soit. C'est en observant le sol, que son cerveau s'illumina. Il y avait d'autres Changelings dans le besoin, leur Reine avait succombé et ils étaient perdus et abattus sans raison valable. Ce jour-ci, Nymphalis ne pensait pas qu'elle ne serait plus jamais seule, et pourtant, le destin lui offrit le plus merveilleux des présents. La colombe allait pouvoir s’envoler de nouveau, elle pourra sourire comme autre fois et protéger ceux qui avaient besoin d'elle.
Elle voulait offrir un foyer à ces âmes égaré et rien de mieux que de vivre dans un endroit que personne ne pouvait apercevoir. La nouvelle ruche se situera au même point géographique, mais sous terre. Le chemin fut long, Nymphalis vit chaque jour le nombre de Changeling augmenter, ensemble, ils avaient réussi à bâtir les murs de la nouvelle ruche. Elle avait alors vingt-quatre ans à l'époque, elle avait offert un toit à ceux qui n'en possédait pas, mais sa vision des choses étaient bien différente de Chrysalis. Mais le monde n'était pas parfait, et même si elle ne désirait pas la guerre, certains Changeling ne désirait pas rejoindre la nouvelle ruche, dans ce genre de situation, la femelle était bien triste, car elle savait que pour garder un secret, il ne devait pas y avoir de témoins. Si tel était la volonté du Changeling, vivre comme un solitaire, elle n'avait d'autre choix que de l’exécuter. Cela ne lui faisait pas plaisir, c'était rare certes, mais cela arrivait toujours. Elle cachait ses sentiments, elle ne voulait pas que son peuple la voir pleurer après avoir tué l'un de ses semblables, mais elle pensait avant tout à ceux qui désirait vivre en sécurité. Elle aurait voulu que le monde soit moins horrible, que tous ait le droit de choisir sans en subir les conséquences, mais elle était loin de ce monde parfait.

Peu à peu la trace des Changelings s'éteignait sur la surface, leur espèce allait bientôt être considéré comme inexistante. Pour cette raison, Nymphalis ordonna à ce que seulement quelques rôles ait le droit de sortir de la ruche, leur existence était basé sur un secret que tous devaient garder et les conséquences serait dévastateur si quelqu'un apprenait l'existence de la ruche enfouis sous terre. Pour le bien de tous, elle devait faire une chose qui la détruisait de l'intérieur, chaque soir elle voyait le sang sur ses membres, chaque douche qu'elle prenait ne semblait pas retirer la sensation du sang coulant sur son corps. Chaque vie qu'elle prenait était marquée au fer rouge dans son esprit.

Son royaume prend forme au fil des mois, elle combat ses démons intérieurs et montre un regard aimant envers ses nouveaux sujets. Elles les écoutent, les conseils et veille à leur éducation pour que tous obtiennent un rôle qui leur convient, non pas pour combattre, mais pour vivre simplement, comme tout être vivant. Ils avaient enfin mérité de vivre et non de survivre, et que même si le monde de la surface était violent envers cette espèce unique en son genre, que la guerre n'était pas une chose nécessaire pour avoir le droit de vivre. Chrysalis allait devenir un lointain souvenir.

Nymphalis vivait enfin dans un endroit qui n'était plus en proie des chasseurs qu'elle avait connu, son monde était en sécurité et ceux qui portait les mêmes gênes qu'elle connaissait enfin une vie paisible à l'abri de la maltraitance et de la mort.

Tout semble aller pour le mieux, un an passe, puis la seconde année s’écoule et voilà qu’une dizaine années vieillies la femelle qui à aujourd’hui trente-cinq ans. Le royaume souterrain se portait comme un charme, la blanche était heureuse de voir ce monde évoluer et prospérait à l’abri des regards. Alors qu’elle pensait que plus rien ne pouvait arriver à ceux qu’elle protéger ardemment, une nouvelle déroutante arriva jusqu’à ses tympans. Elle marchait tranquillement dans les allées et voilà qu’une voix retentie prononçant des mots qui paralysa la belle. De simples mots venaient de transpercer son cœur, comme si la foudre l’avait frappé de plein fouet. Refusant de croire ce qu’elle avait entendu, Nymphalis vola jusqu’à l’entrée du royaume caché, son cœur palpitait à une vitesse folle, elle avait du mal à respirer correctement durant son vol. Lorsque ses sabots touchèrent le sol et que le vent fit volter sa crinière sous les multiples caresses du vent contre sa pelisse, son regard se porta sur la scène horrible qui se trouvait en face d’elle. Son visage resta figé durant plusieurs minutes, ses pupilles avaient rétréci et ses lèvres étaient entrouvert. Elle refusait de croire qu’autant de méchanceté pouvait exister chez un être vivant, elle avait vécu des choses terribles dans l’ancienne ruche où elle avait vu le jour, et pourtant, rien ne semblait autant l’affecter que cette vision d’horreur. Ces êtres qui étaient exposés comme des trophées au regard de tous, leur tête plantée sur des piques, le sang coulait encore le long de la lance, leur pupille devenu vitreux exprimait un sentiment de peur, il y avait encore des larmes sur les coins des yeux. Nymphalis n’avait jamais vu autant de cruauté, elle ne savait pas qu’un être vivant pouvait être aussi sombre et machiavélique.

Des perles d’eau commencèrent à glisser sur ses joues, son cœur était déchiré, brisé en un millier de morceaux. En voyant cette scène, dans son esprit, elle entendait les échos de leur rire, leur joie de faire souffrir un Changeling. Nymphalis baissa la tête, elle n’entendait plus rien, les sons devenaient peu à peu inaudibles, doucement, une profonde colère s’empara d’elle, faire subir autant d’atrocité sans en payer le prix fort était mal connaître la sirène blanche. Après plusieurs minutes, Nymphalis releva la tête tout en serrant fermement sa mâchoire, elle avait décidé de faire justice, de venger ceux qu’elle aimait plus que tout. Chaque veine faisait palpiter son sang à vive allure, puis, d’un regard, elle avait accès à leur système sanguin, sans quitter les meurtriers du regard, leurs muscles les empêchaient de fuir, ils étaient paralysés par leur propre muscle. Elle aurait pu cesser leur circulation du sang, mais elle refusait de les faire mourir aussi rapidement, ceux qui avait tenté de protéger la ville souterraine n’ont pas eu cette chance.

Au début, elle fit souffrir chaque meurtrier, un par un. A chaque fois qu’elle faisait subir une douleur insoutenable, Nymphalis affichait un visage rempli de tristesse et de dégout, elle ne prenait aucun plaisir à faire une telle chose, ils suppliaient la Reine de les épargner, ils disaient qu’ils étaient désolés, mais tout ceci n’avait plus d’importance pour la blanche, elle devait protéger le secret de leur existence et il n’y avait qu’un seul moyen… D’un coup, les uns après les autres, la blanche les exécute sans aucune pitié. Leur regard était sans vie, le corps de la colombe tremblait comme une feuille, ses yeux était perdu dans le vide, et malgré tout, elle essayait de paraître insensible. La belle demanda à ce que les Changeling tué soit enterré et que les autres soit jeté le plus loin possible. Elle rentra dans ses appartements en gardant la tête haute. Au moment où la porte se ferma derrière elle, la jument s’allongea sur son lit, pleurant à chaude larme, elle n’arrivait plus à s’arrêter, tout lui revenait en mémoire, elle avait tué, pris la vie en quelques secondes. Elle avait perdu de brave sujets. Sa peur du monde extérieur ne fit que croître, durant plusieurs jours, il était impossible pour elle de sortir. Nuit après nuit, les cauchemars venait en masse, la réveillant en sueur, sa respiration était saccadée, la fatigue était lisible sur son visage. Son passé la consumait en même temps que les actes qu’elle a dû commettre. Ce qui s’était passé avec les brigands venait de rouvrir une plaie qu’elle croyait cicatriser depuis longtemps.

Après plusieurs jours, la dame réussie à reprendre les rennes, à enfouir ce mal-être au fond d’elle pour continuer à veiller sur les Changeling qui peuplent son univers. L'événement avait accentué ce dégoût qu’elle éprouvait depuis plusieurs années et pourtant, elle était consciente que les Changeling avaient besoin des normaux pour vivre… Depuis ce fameux jour, Nymphalis a été beaucoup plus prudente, prenant soin de tous ceux qui avait besoin de son soutien.