Dick Avaricious, le voleur légal

Personnalité

Dick Avaricious est le poney le plus pingre de tout le pays ! Issu d'une famille de noblesse sur de nombreuses générations et jouissant d'une des plus grandes richesses de tout Equestria, il ne manque d'aucune pièce et n'en a jamais manqué, mais il estime n'en avoir jamais assez ! A chaque fois qu'il doit débourser la moindre piécette pour garder une apparence convenable, il serre les dents et repense à ce gâchis pendant des jours entiers. Il est tellement avare et cupide qu'il a volontairement choisi de vivre dans une maison convenable, mais ridiculement modeste par rapport à sa condition. Il a trouvé la parade parfaite pour donner bonne figure en prétextant qu'il est ainsi plus proche du palais de Prima Vierde, mais en réalité c'est uniquement pour économiser de l'électricité en hiver avec le chauffage et pour n'avoir besoin que d'une poignée de domestiques à payer.

Il accumule la richesse en ne voulant se séparer du moindre sous et il aime autant l'argent que le pouvoir. Dick Avaricious n'a aucun scrupule à balayer ses convictions et idéaux si fermer les yeux lui permet d'accéder à un pouvoir supplémentaire et il n'hésite pas non plus à se débarrasser de ce qui n'est plus utile. Les gens y compris. Il ne se place pas du côté de la justice, mais du vainqueur et peu importe lequel est celui qui gagnera tant qu'il a lui même à y gagner. Il pense avec sa tête et sa cupidité, pas avec son cœur. Rien n'est gratuit avec lui, même le plus petit service a un prix. En revanche, il n'aime pas quand on retourne ce dicton contre lui. Il marche sur les autres pour rester en haut de la hiérarchie et ceux qui réussissent mieux que lui l'exaspèrent autant qu'ils l'énervent. Il a un grand manque de goût d'un point de vu des normes sociétales, car il trouve que les gens de caractère et qui ont tout pour plaire sont fades et ennuyeux. Il accorde en revanche une grande attention aux rebuts de la société et aux défauts disgracieux qui rendent quelqu'un atypique. Les physiques repoussants réveillent chez lui ses pulsions les plus sordides, celles-là même qu'il n'assume pas avoir.

La faiblesse et la pauvreté d'un individu l'excite et il ne résiste pas au visage larmoyant de ses petits chéris. Il aime autant femmes, hommes, qu'enfants même si ses instincts de prédateur sexuel font parti du packaging de ses lubies qu'il cache et dont il a honte. Il chouchoute et reste très présent pour les faibles d'esprit qui ne vivent plus que pour lui car il adore ça et il aime être le centre d'attention de son harem des horreurs.